PSG-ASM : Les tops/flops

PSG-ASM : Les tops/flops

28 août 2022 75 Par Romain M

Suite à la rencontre entre le Paris Saint Germain et l’AS Monaco pour le compte de la 4e journée de Ligue 1, retrouvez les tops et les flops : 

Les tops :

  • Mohamed Camara : L’ancien joueur de Salzbourg a rendu une copie très propre ce soir. Grosse qualité de récupération et de remontée de balle, très propre dans ses passes, il a montré qu’une telle adversité ne lui faisait pas peur. Partez en vacances tranquille, c’est lui qui garde votre maison. Terminator
  • L’esprit d’équipe : Comment souvent ces dernières saisons, on a vu un Monaco en mode Ligue des Champions face au PSG. Appliqués, concernés, disciplinés, peu de déchets techniques, on n’a rien à reprocher aux joueurs à l’issue de ce match. S’ils rééditent ce genre de performance en ayant cette attitude, on peut être confiant pour les prochaines rencontres à venir. Grinta.
  • La défense : Monaco : 6 buts encaissés en 3 rencontres de L1. 4 buts encaissés en 2 rencontres de Ligue des Champions. En face, le PSG et ses 21 buts inscrits en 4 rencontres officielles. Pourtant, l’arrière-garde asémiste n’a pas tremblé. Le trio Badiashile-Disasi-Maripan s’est montré à son avantage et chaque joueur semblait se complaire dans cette stratégie. On a également senti une réelle complicité avec les deux milieux (Fofana et Camara) afin qu’il y ait constamment le surnombre face aux champions de France. Tactique pour la saison ou coup d’un soir ?

Le flop :

On ne va pas se mentir, qui aurait cru que l’ASM allait accrocher le PSG sur sa pelouse, obligeant les joueurs de la capitale à chercher un pénalty pour parvenir à éviter la défaite ? Peu d’entre nous évidemment. De ce fait, il serait incongru d’inclure un Monégasque dans cette partie (même si on espère revoir notre goléador plus en forme lors des prochains matches). Cependant, un flop se distingue tout de même…

  • Marco Verratti : On l’a davantage entendu que l’ensemble du Kop parisien. On comprend désormais pourquoi Neymar célèbre ses buts en mimant des pleurs, c’est une dédicace à son “copain”. Pleurer n’est pas jouer.

Photo : Philippe Lecoeur – FEP – Icon Sport