
Les principaux succès de l’AS Monaco
10 octobre 2024Principaux succès de l’AS Monaco de 2010 à 2020
Les Asémistes ont commencé à surprendre bien avant la confrontation face à Man City. Lors de
la saison 2014/15, terminant deuxième du championnat, l’équipe est directement qualifiée
pour la Ligue des Champions. Berbatov, Toulalan, Martial, Carrasco, Kurzawa, Kondogbia et Abdennour,… Lors de la phase de groupes, Monaco, sorti de la première place, n’a concédé qu’un seul but.
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L’équipe de l’époque se concentrait davantage sur la défense, mais devant eux, ils avaient
suffisamment de joueurs talentueux pour punir leurs rivaux. C’est ce qui s’est passé en huitièmes de
finale contre Arsenal, qui a perdu 3-1 sur son terrain — deux buts ont été marqués grâce à
des erreurs individuelles. En retour, les Gunners ont mis la pression et les Monégasques ont eu un peu de chance.
Arsenal a eu beaucoup d’occasions d’aller plus loin, mais Monaco a pu résister.
Après avoir atteint les demi-finales de la Ligue des Champions, Monaco a rencontré la
Juventus, qui possédait à ce moment-là l’une des meilleures défenses au monde. Dans le
premier match, les Rouge & Blanc ont subi une défaite minimale, et dans la rencontre du retour,
les Turinois ont tout fait pour obtenir le match nul. Comme l’a déjà souligné Jürgen Klopp, il n’y
a pas d’adversaire plus inconfortable dans le football que les Italiens, prêts à se contenter d’un
résultat nul. L’écurie princière Français a tenté, en vain.C’est ainsi que l’incroyable parcours de
Monaco en Ligue des Champions s’est terminé.
La saison suivante, l’équipe n’a pas réussi à se qualifier pour le principal tournoi européen, se contentant de la Ligue Europa.
Saison 16/17
Monaco passe en toute confiance Fenerbahçe et Villarreal en qualifications et se retrouve
dans le groupe avec le CSKA Moscou, Tottenham, qu’il avait rencontré un an plus tôt et le
Bayer.
La première place du groupe, 9 marqués, 7 encaissés.
Après Arsenal, c’était donc au tour de City de se frotter aux joueurs à la Diagonale, grand favori de la compétition. Et,
ensuite Dortmund, avant de retrouver … la Juve. Les turinois ont rapidement refroidi la ferveur des français et
l’intrigue s’est terminée dès le premier match, où Monaco a subi une défaite 0-2 sur son
terrain. Lors de la rencontre retour, la situation n’a pas changé et la Juventus a atteint la finale
avec confiance.
Pendant ce temps, une autre histoire passionnante se déroulait dans le championnat. Monaco,
en tête, a assuré la victoire finale avec 95 points et 107 buts !
Chance ou overperforming
Cette saison là, Monaco a montré des résultats incroyables. Tous les experts furent unanimes : l’équipe affichait un niveau de jeu anormalement élevé, marquant plus que prévu sur la base des statistiques. En fait, selon les mêmes
statistiques, il était évident que Monaco gagnait des points avec excès.
Par exemple, la mise en œuvre moyenne pour les 6 meilleures ligues dans les saisons 13/14,
14/15 et 15/16 était de 1,017 (c’est-à-dire que l’équipe a marqué 1,017 buts par xG), et dans la
saison 16/17, ce chiffre est passé à 1,082. Cela signifiait que les équipes marquaient
exactement autant qu’elles créaient. Monaco a toutefois surpris avec un indicateur de 1,72. Quoi qu’il en soit, l’équipe
était géniale et son jeu était agréable à regarder.
Photo : Pixabay
Avec le style de jeu de Monaco, il fallait peut être revoir les critères définissant les exp G ? 😉 Par exemple, quand le groupe a la grinta, les actions de but vont se finir davantage en but que s’ils n’ont pas la grinta. Une pondération par un facteur de psychologie collective en somme.
Très bon article qui j’espère rencontrera son lectorat qui va me faire découvrir, par pure curiosité, ce que sont les casinos en ligne.